Comment acheter un logement social ?

L’accession à la propriété en France tend à devenir un parcours du combattant face aux exigences du marché immobilier. En fonction de votre situation financière plus ou moins modeste, vous pourrez vous pencher vers les offres des bailleurs sociaux. Cela est désormais possible et vous ne rêvez pas, car depuis quelques temps la législation a été favorable à l’acquisition de logements sociaux sous diverses conditions. C’est donc ici tout l’intérêt de notre article, vous en dire plus sur comment devenir propriétaire d’un logement social ? 

Repérer les différentes offres

Les logements sociaux sont autorisés à la mise en vente s’ils ont au moins 10 ans et peuvent faire l’objet d’une acquisition sous conditions. En effet, les bailleurs sociaux peuvent se charger de faire l’annonce afin de toucher le cercle restreint des locataires en HLM, ou encore diffuser les offres via les professionnels du secteur. C’est ainsi que certaines agences immobilières se sont spécialisées dans ce type de propositions au grand bonheur de leurs prospects. Pour plus d’infos, découvrez les offres disponibles sur www.plurial-novilia.fr pour votre future résidence principale.

Vérifier son éligibilité

Sur le plan financier, l’acquisition d’un logement social est une opportunité à saisir surtout si vous disposez de revenus modestes. Néanmoins, afin d’être éligible renseignez-vous auprès de la préfecture ou de la mairie car certains foyers sont plus privilégiés que d’autres comme les résidents des départements du parc social concerné. De plus, assurez-vous de la qualité du bien car les exigences énergétiques et environnementales sont désormais de rigueur. Dans le cas où vous êtes un particulier intéressé par une offre située hors de la limitation géographique requise, assurez-vous au préalable que les ménages prioritaires se soient désisté ou alors qu’ils soient inexistants. Aussi, en cas d’achat, vous n’êtes pas autorisé à céder votre bien avant 5 ans sauf en cas de divorce, d’impératif professionnel ou au pire, en cas de décès du conjoint.

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